Un ordinateur Sony à enrouler au poignet.

Sony présente un concept d’ordinateur-bracelet conçu à partir d’un écran flexible. Selon son designer, il est supposé arriver sur le marché en 2020.

Conçu sur la base d’un écran Oled tactile, ce concept d’Hiromi Kiriki dispose d’un clavier dissimulé en deux parties sous l’écran. Futuriste, le projet prévoit même un projecteur holographique.

Avec autant de technologies en son sein, le concept de Sony gagne trop en épaisseur. Large, il ne passe pas inaperçu au poignet. Néanmoins, il représente un nouvel usage pour l'écran flexible déjà mis au point par Sony et fonctionnel.

Rouler son journal comme un écran :

L'artiste de rue : Slinkachu

Créateur de petits personnages format maquettes de train que l'artiste place ensuite en situation au beau milieu de la jungle urbaine londonienne. Slinkachu crée des mini-scènes cocasses ou terrifiantes que seul le passant le plus perspicace détectera.

Son livre " LITTLE PEOPLE IN THE CITY" reproduit et conserve les traces de cet art éminemment éphémère mais passionnant.

Un très joli livre qui fait toucher du doigt à quel point l'homme est microscopique dans l'Univers!

Découvrez ses blogs ici et ici.

À quand un café signé Pomset ?

Cette imprimante à encre comestible (café ou chocolat) réalise des dessins précis sur... du café !

Une curiosité qui pourrait intéresser de grands cafés, à condition de trouver un moyen de garder la tasse au chaud !

Cliquez sur l'image pour visualiser la vidéo.

Weber, guerilla grill

Comment communiquer à moindre coût quand on est une un fabricant de barbecue? En utilisant le mobilier urbain, et, ce qui représente le plus le barbecue à savoir la grille! Avec l’utilisation de flyers magnétiques contre les grilles d’une ville, Weber reproduit ici de belle manière la cuisson des succulents morceaux de viande.

 

Beau travail des étudiants de la très célèbre Miami Ad School, qui se sont réappropriés l’utilisation des grilles urbaines déjà vus ici.

Egalement intéressante l’initiative de Caribou Coffee qui a pour sa part choisi de faire “griller” les utilisateurs d’un arrêt de bus, en transformant l’abribus en four géant.

Des créations vues ici et là.

Ikéa mode d’emploi

Aujourd'hui, un petit tour en Suède pour faire le point sur la star locale de ce merveilleux pays, je veux bien sûr parler de ...

Papiers s'il vous plait !

« J’ai besoin de m’évader dans le blanc de la feuille
 de papier avant de pouvoir la travailler.

C’est le vide, le silence, l’absence de nuance,
 de forme et de tout élément perturbateur qui me permet de piéger le monde vulnérable qui m’habite. »

Daniel Mar

Chut... allez-y, entrez

Michal Batory - Artisan de l'affiche

Né en Pologne en 1959, Michal Batory est diplômé de l’Ecole nationale des Arts plastiques de Lodz.
En 1985, après l’obtention de son diplôme (sur un projet d’affiches pour le festival de jazz de Varsovie) et d’une bourse, il s’installe à Paris et travaille quelques années pour le studio LM Communiquer de Laurence Madrelle, où en plus de compléter sa formation théorique, il apprend le travail sur ordinateur.

En 1993, il gagne un concours pour la scénographie d’une exposition à la Cité des Sciences et de l’Industrie et devient indépendant. C’est sur ce projet qu’il rencontre Jorge Lavelli, directeur du théâtre national de La Colline et amateur de l’affiche polonaise. L’année suivante, il commence une collaboration de trois ans avec La Colline, pour lequel il signe la ligne graphique, les publications et les affiches.

S’enchaîne ensuite toute une série de commandes issues des plus grandes institutions
culturelles : l’Ircam et l’Ensemble Inter contemporain (de 1996 à 2002), dont il réalise les affiches, l’identité visuelle des CD et des publications ; L’Arsenal de Metz ; le théâtre national de Chaillot, avec qui, là encore, il tisse des liens réguliers de 2001 à 2009 ; les éditions Flammarion, Belin et Drzewo Babel ; ou encore Radio France et le centre des Arts à Enghien-les-Bains. Son vocabulaire plastique s’affiche alors dans les rues de Paris et s’impose plus largement dans la culture visuelle française.

Pour cette exposition, Michal Batory a choisi de faire partager sa création graphique et d’en révéler la genèse. La première salle évoque son atelier-maison et nous plonge dans l’intimité de l’artiste. Tout l’univers graphique et personnel de Michal Batory se dévoile et se découvre sur les murs de chez lui. Ici, une fleur fanée utilisée pour la carte de vœux 2008 de l’Adami, là une sculpture de chaise faite avec des allumettes pour l’affiche Ligne de fuite pour le Théâtre national de Chaillot, des appareils photographiques, un ordinateur, des livres, de la musique en fond, des cartes postales punaisées, des essais photographiques pour un futur projet.

Ses grands albums de travail permettent d’appréhender les différentes étapes de sa création. A la commande, suit un travail de documentation et d’échanges avec les différents protagonistes (auteur, metteur en scène, chorégraphe, musicien), puis vient la réflexion, qui se traduit systématiquement par un dessin et enfin arrive le travail plastique, sculpture et assemblage d’objets souvent éphémères, que Batory photographie. L’image obtenue est parfois retravaillée par ordinateur, parfois non, puis mise en page.

Pour plus d'informations, cliquez ici.

Les Arts Décoratifs 

107, rue de Rivoli - 75001 Paris

tél. : 01 44 55 57 50 

Les douaniers américains traquent les "Kinder Surprise"

Il n'y a pas que la drogue, les Mexicains et les terroristes qui sont traqués par les douaniers américains... un nouveau genre de trafic a fait son apparition... le passage illégal de "Kinder Surprise".

C'est une aventure qui est arrivée à une canadienne, Lind Bird, qui se rendait aux États-Unis.
Au passage de la frontières, les douaniers ont découvert un œuf en chocolat «Kinder Surprise» !

Et alors ?
Et alors... les "Kinder Surprise" sont interdits au États-Unis ! Eh oui...
Ces sucreries du chocolatier Ferrero ont été interdits sur le marché américain après que Washington eut formulé la crainte de voir les jeunes enfants s'étouffer en avalant les petits jouets se trouvant à l'intérieur des chocolats, rapporte L'Essentiel.
C'est ainsi qu'en 2009, les douaniers américains ont réalisé 2 000 saisies et confisqués plus de
25 000 de ces œufs en chocolat.

« Ce sont principalement des particuliers », précise un porte-parole du département de la Sécurité intérieure, Mike Milne, soulignant que cette « contrebande » connaissait un pic à Noël et un autre à Pâques.

L'affaire de Madame Bird (qui se traduit par oiseau !) s'est donc terminée par la destruction réglementaire de son "Kinder surprise ". Non... ce n'était pas une blague !

Alors , si vous vous rendez au États-Unis... un conseil, n'emportez pas de Kinder Surprise avec vous.

The Chase : une pub 2.0 pour Intel

Pour faire la promotion de l'un de ses derniers processeurs, le Core i5, Intel exploite à fond tous les nouveaux usages informatiques et web. Une perle rare.

Faire la promotion d’un microprocesseur n’est pas l’entreprise la plus sexy de la communication. Pourtant, Intel a très tôt su donner un écho médiatique fort à ses productions. Beaucoup se souviennent certainement des différentes campagnes Pentium on l’on pouvait croiser le Blue Man Group ou des extraterrestres. La sortie des Core i5 l’année dernière – on les trouve dans plusieurs produits milieu et haut de gamme en PC et PC portables – n’avait pas été accompagnée d’une campagne marquante.

C’est désormais réparé avec The Chase, un film promotionnel d’un peu moins de 2 minutes narrant la fuite d’une femme face à de redoutables assaillants. Pour ce faire, elle va utiliser tous les moyens numériques à sa disposition : Photoshop, traitement de texte, Facebook, graphiques, ersatz de Gran Theft Auto et de Street Fighter, You Tube, location de voiture en ligne, Google Street View et Earth… un ensemble d’outils informatiques, vidéoludiques et web portés par la puissance du processeur.

C’est beau, c’est original, c’est ici !

2011, une nouvelle année, un nouveau logo !

Pomset fait peau neuve avec le relooking de son identité visuelle.
Existante depuis 17 ans, l'agence avait pour souhait de moderniser son image et de mettre en avant ses points forts : créativité, réactivité, compétitivité.

Plus dans l'air du temps, ce nouveau logo montre l'évolution de l'agence.
Toujours spécialiste de l'édition, Pomset développe aussi une activité tournée vers l'interactivité.
Elle accompagne ainsi ces clients dans une démarche plus complète avec des solutions plus globales et plus économiques (édition, marketing opérationnel, marketing interactif, web...). Elle propose de nouveaux supports tels que des emailing, newsletter, animation flash, QR Code, application iPhone, vidéo... 


“Notre volonté était simple : moderniser et alléger notre identité visuelle.
Depuis quelques années, conscient de l’évolution du marché, il ne nous a pas échappé qu’il fallait offrir des solutions économiques adaptées aux budgets de nos clients. Pour démarrer cette année 2011 nous avons alléger la ligne graphique de notre logo voulant ainsi donner le signe d’une volonté de modernisation, de simplicité, d’adaptabilité...” 

Bertrand Percie du Sert 

(Directeur général)

Avec une carte de voeux sous le signe de l’humour Pomset renforce son positionnement et compte bien en 2011 vous faire “tomber dans les pommes” !